Biographie :
"Je suis un écrivain, un éditeur et un fabricant de magazines créatif. Mon intérêt particulier est la nature urbaine, en particulier les histoires qui explorent la manière dont les plantes, les arbres et les paysages de la métropole nous aident à mieux nous comprendre. Mon travail a été présenté et examiné par divers médias nationaux et internationaux, notamment: la BBC; le Times ; le gardien ; le courrier le dimanche ; Metro et le National .
J'ai grandi dans un endroit rural mais je vis à Londres depuis près de 20 ans, et j'ai trouvé dans la capitale un foyer spirituel. Au cours de cette période, j'ai appris combien il était important de connaître les contours naturels de la ville et combien il était nécessaire pour mon bien-être mental et physique. Donc, pour moi, le paysage de Londres est un lieu de dur et de doux; un lieu où l'homme fait habite dans et autour des prés et des marais, des ruisseaux de craie et des rivières à marée. Dans ces lieux de juxtaposition, il existe un rythme et un mystère uniques et riches en opportunités créatives.
Inspiré par cela, j'ai co-créé le magazine Lost in London , une publication indépendante sur la nature sauvage de la ville, avec la designer Tina Smith. Il s'agissait à l'origine d'un projet de portefeuille, destiné à être une expérience ponctuelle, mais son premier numéro a été vendu quelques jours après son lancement. Nous avons donc continué à le faire, pendant quelques années, entre les travaux difficiles, à toute heure de la nuit. Puis notre livre, Lost in London: des aventures dans la nature sauvage de la ville, a été publié. Depuis lors, mon travail a été axé sur la connexion à la nature et sur la manière dont nous pouvons entretenir une relation puissante avec elle, où que nous vivions".
+ Voir plus"Je suis un écrivain, un éditeur et un fabricant de magazines créatif. Mon intérêt particulier est la nature urbaine, en particulier les histoires qui explorent la manière dont les plantes, les arbres et les paysages de la métropole nous aident à mieux nous comprendre. Mon travail a été présenté et examiné par divers médias nationaux et internationaux, notamment: la BBC; le Times ; le gardien ; le courrier le dimanche ; Metro et le National .
J'ai grandi dans un endroit rural mais je vis à Londres depuis près de 20 ans, et j'ai trouvé dans la capitale un foyer spirituel. Au cours de cette période, j'ai appris combien il était important de connaître les contours naturels de la ville et combien il était nécessaire pour mon bien-être mental et physique. Donc, pour moi, le paysage de Londres est un lieu de dur et de doux; un lieu où l'homme fait habite dans et autour des prés et des marais, des ruisseaux de craie et des rivières à marée. Dans ces lieux de juxtaposition, il existe un rythme et un mystère uniques et riches en opportunités créatives.
Inspiré par cela, j'ai co-créé le magazine Lost in London , une publication indépendante sur la nature sauvage de la ville, avec la designer Tina Smith. Il s'agissait à l'origine d'un projet de portefeuille, destiné à être une expérience ponctuelle, mais son premier numéro a été vendu quelques jours après son lancement. Nous avons donc continué à le faire, pendant quelques années, entre les travaux difficiles, à toute heure de la nuit. Puis notre livre, Lost in London: des aventures dans la nature sauvage de la ville, a été publié. Depuis lors, mon travail a été axé sur la connexion à la nature et sur la manière dont nous pouvons entretenir une relation puissante avec elle, où que nous vivions".
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Toucher l'histoire d'une ville
La ville est un trésor d'endroits qui nous invite à faire appel à notre toucher ainsi qu'à notre vue et notre ouïe. Les jardins botaniques et les parcs publics sont des lieux qui s'imposent d'eux-mêmes. Mais les fontaines, les sculptures et les vieilles briques peuvent également nous offrir du plaisir sensoriel. Passer sa main dans un jet d'eau vif scintillant dans les rayons du soleil est un plaisir ludique et enfantin. Plus encore, nous réalisons cette action de tendre la main de manière instinctive, qui nous apporte un plaisir simple et nous permet également de nous ancrer davantage. (p. 67)
La ville est un trésor d'endroits qui nous invite à faire appel à notre toucher ainsi qu'à notre vue et notre ouïe. Les jardins botaniques et les parcs publics sont des lieux qui s'imposent d'eux-mêmes. Mais les fontaines, les sculptures et les vieilles briques peuvent également nous offrir du plaisir sensoriel. Passer sa main dans un jet d'eau vif scintillant dans les rayons du soleil est un plaisir ludique et enfantin. Plus encore, nous réalisons cette action de tendre la main de manière instinctive, qui nous apporte un plaisir simple et nous permet également de nous ancrer davantage. (p. 67)
J'ai souvent comparé la ville à un petit ami incroyable, mais inadapté : charmant, drôle, captivant, mais pas bon à marier. (...)Enrichissante, inventive, en perpétuelle évolution et infiniment sociale, la communauté urbaine créée une énergie inspirante qui m'a permis de toujours regarder vers l'extérieur plutôt que vers l'intérieur. Elle m'a permis de rester connectée au monde. (p. 9)
Se créer des souvenirs d'âme
Observer les gens est une fenêtre donnant sur une réalité plus douce de la vie urbaine; une réalité dans laquelle tout ce dont nous avons besoin c'est d'un peu de temps pour la comprendre ou la ressentir. (p. 99)
Observer les gens est une fenêtre donnant sur une réalité plus douce de la vie urbaine; une réalité dans laquelle tout ce dont nous avons besoin c'est d'un peu de temps pour la comprendre ou la ressentir. (p. 99)
Passer sa retraite en ville
Pour ce monsieur [octogénaire, ancien ingénieur en génie civil à la retraite ], la ville donnait à ses jours de la hauteur et de la profondeur. (...)
Ce fut pour moi un rappel de la valeur des réseaux urbains, et de la chance que l'on a, en tant que citadins , d'être capables de gérer une multitude de communautés qui reflètent nos passions et participent à notre bien-être, particulièrement vital pour celles ou ceux qui vivent seuls. (p. 93)
Pour ce monsieur [octogénaire, ancien ingénieur en génie civil à la retraite ], la ville donnait à ses jours de la hauteur et de la profondeur. (...)
Ce fut pour moi un rappel de la valeur des réseaux urbains, et de la chance que l'on a, en tant que citadins , d'être capables de gérer une multitude de communautés qui reflètent nos passions et participent à notre bien-être, particulièrement vital pour celles ou ceux qui vivent seuls. (p. 93)
Respirer avec les arbres
Même si je suis bien enracinée dans la ville, je continue aujourd'hui encore à aimer m'appuyer contre un vieil arbre lorsque j'en croise un. Comme un grand-parent protecteur, les vieux arbres donnent l'impression d'être chaleureux et mystérieusement confortables malgré la rugosité de leur écorce. S'installer près d'un d'entre eux et se souvenir des générations de personnes qu'il a vues aller et venir et qu'il continuera à observer est une petite leçon de perspective pour les mauvais jours, et nous montre à quel point notre vie est brève dans l'ensemble, même comparée avec celle d'autres êtres vivants. (p. 18)
Même si je suis bien enracinée dans la ville, je continue aujourd'hui encore à aimer m'appuyer contre un vieil arbre lorsque j'en croise un. Comme un grand-parent protecteur, les vieux arbres donnent l'impression d'être chaleureux et mystérieusement confortables malgré la rugosité de leur écorce. S'installer près d'un d'entre eux et se souvenir des générations de personnes qu'il a vues aller et venir et qu'il continuera à observer est une petite leçon de perspective pour les mauvais jours, et nous montre à quel point notre vie est brève dans l'ensemble, même comparée avec celle d'autres êtres vivants. (p. 18)
Un refuge pour les introvertis
La ville est un endroit où il est tout à fait admis de passer du temps seul. Indépendamment de tout le reste, les gens sont souvent tellement occupés dans leur vie que personne ne s'intéressera à vous et ne s'interrogera sur votre manière de profiter de la ville. (p. 104)
La ville est un endroit où il est tout à fait admis de passer du temps seul. Indépendamment de tout le reste, les gens sont souvent tellement occupés dans leur vie que personne ne s'intéressera à vous et ne s'interrogera sur votre manière de profiter de la ville. (p. 104)
Il vous suffit de penser aux tables dans un café très fréquenté pour apprécier la notion de vie urbaine en tant que rivière d'expérience. Les gens vont et viennent en permanence, pour retrouver des amis, parler affaires, lire un journal ou regarder la vie suivre son cours. (p. 44)
Trouver de la beauté dans les formes
Les villes ne sont pas homogènes. Souvent, elles ressemblent à un patchwork de quartiers uniques qui possèdent chacun une ambiance, une culture et un mode de vie qui les caractérisent. Ells ont par conséquent un coeur et une âme qui offre, une fois plongé dedans, une expérience enrichissante (...)
Une ambiance ne peut pas être fabriquée du jour au lendemain. Elle est créée à partir d'un souvenir collectif de personnes qui ont vécu et travaillé dans un endroit, et généré au fil des ans à travers plusieurs forces et des centaines d'individus. Elle est le produit inconscient des choix, des désirs et des idées de ces générations successives. (p. 80)
Les villes ne sont pas homogènes. Souvent, elles ressemblent à un patchwork de quartiers uniques qui possèdent chacun une ambiance, une culture et un mode de vie qui les caractérisent. Ells ont par conséquent un coeur et une âme qui offre, une fois plongé dedans, une expérience enrichissante (...)
Une ambiance ne peut pas être fabriquée du jour au lendemain. Elle est créée à partir d'un souvenir collectif de personnes qui ont vécu et travaillé dans un endroit, et généré au fil des ans à travers plusieurs forces et des centaines d'individus. Elle est le produit inconscient des choix, des désirs et des idées de ces générations successives. (p. 80)
Aimer l'espèce urbaine
Les villes sont des communautés qui nous tirent en dehors de nous-mêmes. Bien souvent, elles peuvent être des lieux qui portent leur diversité (...) non pas comme une menace, mais comme un insigne d'honneur, comme quelque chose d'indubitablement fondamental à son identité. La ville devient alors un environnement très positif auquel appartenir. (...) Il me semble évident que plus nous rencontrons de personnes, plus nous vivons de personnalités et de cultures , et plus nous avons de chance de comprendre la force de notre espèce sociale, et la réalité de notre interdépendance. (...) Nous sommes destinés à être ensemble. (p. 158-159)
Les villes sont des communautés qui nous tirent en dehors de nous-mêmes. Bien souvent, elles peuvent être des lieux qui portent leur diversité (...) non pas comme une menace, mais comme un insigne d'honneur, comme quelque chose d'indubitablement fondamental à son identité. La ville devient alors un environnement très positif auquel appartenir. (...) Il me semble évident que plus nous rencontrons de personnes, plus nous vivons de personnalités et de cultures , et plus nous avons de chance de comprendre la force de notre espèce sociale, et la réalité de notre interdépendance. (...) Nous sommes destinés à être ensemble. (p. 158-159)
Maîtrisez l'art de l'observation
Les transports publics nous offrent la liberté de regarder ce qui me manque cruellement à la campagne, où pour survivre, une voiture est aussi importante qu'une tenue imperméable. (p. 37)
Les transports publics nous offrent la liberté de regarder ce qui me manque cruellement à la campagne, où pour survivre, une voiture est aussi importante qu'une tenue imperméable. (p. 37)
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