Tout individu un peu aisé vivant sur ce territoire épargné possède un chalet en montagne dans lequel il se réfugie pendant la période estivale, loin des canicules délirantes. A l'inverse, à mesure que les activités ont sombré les unes après les autres, des bidonvilles ont dessiné peu à peu les contours de l'immense métropole, hébergeant une population agonisante et fragile.