A l'une des portes du jardin de l'Impératrice à Florence, figurait cette inscription : "Aux oies, aux femmes et aux chèvres, l'entrée de ce jardin est interdite." Pourtant, une réelle libération devait alors se produire pour les femmes et l'on vit nombre de celles-ci, par exemple, assurer l'administration du patrimoine familial.
On recommandait aux cardiaques le bouillon de crapaud ( on s'est aperçu depuis qu'il contient une substance très proche proche de la digitale).
Au Moyen Age, on appréciait davantage la santé d’une femme que sa beauté. On lui demandait surtout de veiller au soin de la maison et du ménage. La condition féminine est devenue assez différente sous la Renaissance. Bien qu’elle continue à s’occuper de la maisonnée et des enfants, la femme participe de plus en plus à la vie sociale et mondaine. Elle s’efforce de faire partout bonne contenance et de montrer son esprit et sa culture. Un écrivain de l’époque, caustique et misogyne, affirme que les femmes n’étalent pas leur luxe et leurs bijoux pour le plaisir de paraître mais pour montrer que, sans elles leur époux ne serait rien.