Les slogans nous incitaient à respecter notre prochain et, si possible, à l'aimer, en particulier s'il était riche ou hiérarchiquement supérieur à nous, ou membre d'une communauté ethnique non sous-humaine. Nous n'avions pas le temps de les lire tous, car nous étions occupés à nous habiller, mais nous devinions au-dessus de nous leur présence autoritaire.