J'ai prié pour réussir.
Et pour qu'elle réussisse.
Et pour qu'elle parvienne à vivre heureux de l'autre côté. Mais les contes de fées étaient bons pour les petites filles, pas pour les garçons de dix-sept ans qui s'autorisaient un peu d'espoir. Nil n'était pas une fée, c'était certain. Pourtant, j'espérais. Parce qu'il le fallait.