La sieste
Amour et Mystère
à toi, à qui j’ai de l’âme
accordé une si grande part
voudrais-je bien
lorsque ciel et terre guérit
la sorcière
divine lumière enchantée
t’emporter, ivres les deux seins
d’une même véhémence,
feu et feu,
sous les ombres mobiles,
sous la musique idyllique
que du bois
les cimes sonores versent.