Je ne conçois pas qu'on dise que le souvenir du malheur passé augmente le bonheur présent, je trouve au contraire qu'il l'empoisonne, le malheur n'est jamais si loin qu' on n'ait plus lieu de le craindre, il est au fond du vase, il en est la lie, on sent qu'il est tout près de revenir. (Olivier, Folio, p.283)