En pratique, un champignon n’a pas à chercher bien loin pour se reproduire. Pour les êtres humains, c’est plus compliqué, parce que nous disposons de moins de choix : à l’inverse, via notre hérédité marquée, les forces de l’espèce sont plus facilement pérennes. Scott réfléchit à un jeu de mots sympa à faire avec champignons, mais se ravisa bien vite. — Je vois, réagit Marsia. Je pensais que ça avait un rapport avec la supériorité génétique de l’ovule sur les spermatozoïdes. Si les hommes pouvaient se reproduire sans vrai défi, l’espèce humaine serait probablement bien plus fragile.