Le truc, c'est que j'adore mes sœurs. Sincèrement. Mais je les aime encore plus quand elles ne sont pas dans les parages. Car dès qu'elles sont là, je redeviens la petite dernière, celle qui ne connaît rien à rien. Et le pire, c'est que même si je n'en ai pas l'intention, je tombe systématiquement dans le panneau. C'est le rôle que je suis condamnée à jouer chaque fois qu'elles passent le week-end à la maison, et ça craint.