(...) les grands criminels de cette société, ceux qui frelatent la nourriture, les médicaments, les aliments pour enfants, peuvent rester en vie, les dirigeants de ce système ceux- là mêmes qui poussent la population du village sous les balles de la police, et bénéficient de la protection de cette même police peuvent rester en vie. Mais puisqu'il ne croit plus en eux, en ces hommes d'affaires avides de profit et en ces dirigeants cupides et sans scrupules, Brati est bien plus coupable qu'eux.