L’expérience m’a (...) montré que le silence fait partie de la discipline que doit s’imposer celui qui a fait vœu de servir la vérité. L’homme est naturellement porté à exagérer les faits, à les dénaturer ou à les escamoter, même à son insu. Le silence est nécessaire pour surmonter ces faiblesses. Les propos d’un homme avare en paroles sont rarement dénués de sens. Chaque mot, dans ce cas, porte.