Léo-Paul avait-il définitivement raison quand il affirmait que seuls les fervents croyants, bienheureux, peuvent s’autoriser à penser l’existence d’un libre arbitre, cette angélophanie que jamais l’homme seul, orphelin de Dieux, ni ne parviendra à prouver, ni n’en acceptera l’absence pourtant patente, à son grand dam ?