Manlio Castagna

Trois malfrats sans le moindre plan. Vingt-et-un otages sans échappatoire. Vingt-quatre heures de cauchemar.



Ce roman nous plonge dans une ambiance d’horreur dès le début, avec cette visite d’un sanatorium pour femmes abandonnées, puis avec l’arrivée de trois braqueurs qui les tiennent en otages contre une rançon… Plus le temps avance, plus les lycéens et les braqueurs tombent dans la folie et la terreur des lieux et nous embarquent avec eux. Mélange d’horreur et de fantastique, des légendes urbaines, ce thriller horrifique est parfait pour cet automne 💥 à mettre dans votre PAL du Pumpkin Automn Challenge, dans la catégorie “l'enfer des backrooms”





Malheureusement, je suis passée totalement à côté de ce livre … je me suis perdue dans les descriptions et j’ai lu en diagonale les 150 dernières pages (sur 300 pages, pour vous dire !) Je n’ai pas accroché à l’écriture, je pense !



Une petite déception !


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Dans ce roman d'horreur écrit à quatre mains, une classe part visiter un hôpital qui a fermé ses portes dans les années 70. La visite tourne au cauchemar quand trois braqueurs qui se cachent dans l'établissement prennent en otage les élèves.



L'intrigue s'installe avec efficacité en quelques pages. Tout va très très vite dès le début du roman, si bien qu'on ressent vite le malaise ambiant et on n'est pas du tout rassuré. La lecture est rapide et imprévisible, nous voilà happés. Et c'était sans compter la touche de surnaturel qui s'immisce au cœur du récit, dévoilant des miettes de passé des personnages et de ces lieux, réveillant des souvenirs désagréables.



Ce huit clos a tout d'un cauchemar interminable et la lecture est oppressante. C'est ce qu'on attend précisément de ce roman et c'est réussi. Toutefois, tout va bien trop vite et j'ai été bien incapable de m'attacher aux personnages, trop nombreux pour être suffisamment développés. C'est aussi le cas pour Giulia, personnage central particulièrement sensible aux changements d'atmosphère de ce lieu lugubre. Je ressors donc à moitié convaincue par cette lecture qui mêle urbex et prise d'otages. À mettre dans les mains des lecteurs qui portent plus d'attention à l'action qu'à l'émotion et qui recherchent une lecture super rythmée pour se faire peur !
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C’est une lecture rapide que celle-ci malgré les trois-cents pages du roman. D’abord parce que l’intrigue elle-même se déroule en quelques heures, ce qui rend tout plus pressant, ensuite parce qu’il y a tout de suite une fascination un peu morbide qui s’installe grâce au prologue efficace et qu’on a cette envie (malsaine, disons-le) de voir comment seront « mangés » les survivants…
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J'ai gagné ce livre lors d'un concours dans un calendrier de l'avent, la couverture me tentait depuis un moment. Elle est incroyable, on sait qu'on va entré dans une histoire glauque dès le premier visuel à la Stephen King (Simetierre). le résumé me parlait aussi, des lycées, des preneurs d'otage et une aventure cauchemardesque !



Le premier chapitre m'a légèrement fait grincer des dents, je n'ai pas forcément apprécié que les auteurs mettent tous les mots du langage adolescent comme une salade composée. Heureusement, ça passe assez vite.

Nous sommes ensuite plongés dans le récit quand ce beau monde entre dans le sanatorium. On se rend rapidement compte que ça sera plus qu'une histoire de prise d'otages, les revenants vont aussi se mêler à la fête. Lynx, l'un des preneurs d'otages et Giuila, une élève, sont très sensibles à ses phénomènes et ce sont par eux que nous allons découvrir les évènements avant que la folie ne les attrape tous.



Je suis assez mitigée dans ce que je ressens pour ce livre. Je ne m'attendais pas à du paranormal, et je ne m'attendais pas à tant d'absurdité non plus. Je ne sais pas si j'ai aimé, mais en tout cas, c'était assez prenant. Il fallait que je sache la fin de l'histoire qui se lisait relativement vite. C'était vraiment une lecture bizarre. J'ai tout de même passer un bon moment.

Roman d’horreur écrit par un auteur jeunesse et un scénariste, l’histoire se passe dans un sanatorium abandonné 👀



Le synopsis avait tout pour me plaire, mais hélas c’est l’écriture qui a péché de mon côté 😖 Je l’ai trouvée très linéaire et on sent l’influence cinématographique. On manquait vraiment d’émotions et je n’ai pas ressenti l’angoisse que j’attendais.



En revanche, je me suis retrouvée perdue à plusieurs reprises. Où était le vrai du faux ? La psychose décrite dans ce roman fait froid dans le dos, et la maladie mentale est traitée de façon horrifique. Je pense qu’il est surtout question de stress post traumatique mais je n’en suis pas certaine.



Je ressors donc de cette lecture mitigée et un peu perdue. Je m’attendais certainement à autre chose, et malgré les horreurs qui sont décrites, je n’ai pas reçu ma dose de frissons 😥


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