Puis il y a moi, la guerrière, la protectrice, la vengeresse, la petite fille devenu seule à l'âge de seize ans. Une larme coule sur ma joue, la colère qui m'habitait a été remplacée par la douleur, la solitude. Être seule, durant ces années, je ne ressentais rien, enfin seulement de la colère, mais là quand ce regard m'a transpercé, j'ai eu un sentiment fort, une connexion, celle que ma sœur a toujours rêvé d'avoir et que j'aie à sa place.