Et moi, Alba, mère de dix-huit ans, j’ai regardé Mer qui pleurait dans son berceau et j’ai pensé que je serais une femme d’à peine trente ans quand il en aurait douze. Alors, au fond de mon cœur, j’ai désiré de toutes mes forces qu’il soit aussi précoce que Didac, son père ; s’il l’était, je pourrais encore avoir quelques enfants de mon fils...