Paris commence alors à me peser, je n'écris presque plus, pris par l'engrenage des tâches et y ressens un état subtil de dépression qui corrode mon âme. Pourtant, je sais bien que la souffrance est créée par mon propre esprit mais je continue à produire mes propres illusions d'homme suractif, qui me rongent. Je fais trop de choses, je m'agite beaucoup, pourquoi ?