Comme partout ailleurs dans le pays, il valait mieux éviter les mouvements d’humeur, et, plus encore, les gestes obscènes en cas de faute de conduite. Autant le flegme thaï donnait des airs de patience infinie, autant il pouvait se muer parfois en déchainements d’une violence inouïe lorsque le chauffeur injurié jugeait les bornes franchies. Le problème : personne ne savait précisément où se trouvait la limite…