Un ami d’enfance, médecin, devait se charger de leur extraction sous anesthésie locale. Après cela, il effaça les code-barres que nous avions tous trois tatoués sur le front, au moyen d’un laser à balayage, utilisé en dermatologie et chirurgie esthétique. Cela avait l’inconvénient de laisser une marque brune qui ne cicatriserait que deux mois plus tard, mais le plus important était que nous ne pouvions plus désormais, être localisés.