Tout avait commencé dans les derniers jours de ce chaud été 1943, à Bourbon-l'Archambault, station thermale sans curistes en ces temps d'occupation et oasis de paix où aucun Allemand n'avait mis les pieds depuis la débâcle. Et on arrivait encore à s'y nourrir sans tickets, dans ce coin d'une France démunie de tout.