[...] Crevel reste l’auteur de cette revendication radicale d’une « solitude essentielle ». Un temps pour soi qui ne soit régi par aucune présence fût-elle futilement culturelle. Mais entendons cette aspiration à laquelle la maladie donnera des montagneux échos, dans le contrebalancement d’une mondanité toujours entretenue (d’après le peu qu’on en sache) avec une politesse exquise.