Un claquement sec et assourdissant me sort de mon écriture. L’orage est de plus en plus violent. La pluie et le vent qui l’accompagne sont apocalyptiques, de ma vie je n’ai rien vu de semblable, comme si la nature se mettait en colère pour rappeler aux hommes qu’ils sont petits, tout petits. J’ai toujours pensé qu’un jour elle règlera ses comptes avec ceux qui l’ont colonisée sans égard.