Le docteur Godfrain écrit dans sa thèse : « Quelques mots sur l’hygiène des ouvriers des manufactures » parue en 1852 : « Chaque femme notée comme débauchée devrait être impitoyablement renvoyée de la fabrique sans espoir de rentrer dans une autre ».
Souvent, l’ouvrière accomplissait ce « cinquième quart de la journée » par simple besoin d’argent. Les salaires féminins étaient inférieurs de moitié et même davantage aux salaires des hommes. De plus dans certaines manufactures, comme celles d’apprêt des toiles de coton, le personnel féminin n’était utilisé qu’aux époques de commande.