À droite, au pied du mur de roche, un ruisselet tombait d'une fente moussue, et plongeait sous la nappe frémissante. À l'autre bout de l'ellipse, un petit tourbillon aspirait l'eau par un trou invisible.
Des larmes montèrent à ses yeux. C'était l'eau des collines, celle qui aurait pu sauver son père, et qui gaspillait sa richesse dans la roche stérile et la nuit souterraine. (Fortunio, p.130)