18 août 1865
Cosima ! tu es l'âme de ma vie ! Toi seule. Je regardais la campagne plate, je cherchais "ma patrie", je m'imaginais Munich sans toi. Tout n'est que mort. Rien, plus rien. Tu es l'âme de tout ce qui vit encore en moi.
Bonne nuit ! Parsifal avance admirablement.