La sociologie féministe « est bien une sociologie critique en ce qu’elle ne se contente pas décrire la réalité et de chercher à l’expliquer, mais qu’elle dénonce aussi les mécanismes de domination, non pas d’ailleurs comme une pathologie ou un dysfonctionnement, mais comme une forme de structuration du social et qu’elle les articule avec les processus d’émancipation »