Le lendemain, on entra en grand silence au réfectoire. Les
bonnes nous ordonnèrent de rester debout; plusieurs grandes
se tenaient très droites avec un air fier ; Bonne Justine restait
humble et triste au bout de la table, tandis que Bonne Néron,
qui avait l’air d’un gendarme, faisait les cent pas au milieu du
réfectoire.