« Les journalistes sportifs l’ont adulé ce printemps-là : ils l’ont surnommé le Grand Méchant du hockey. La Bête du Nord-Est. Le seul homme qui faisait passer la victoire de son équipe avant sa propre santé.
Ce n’est pas dans ses gènes, d’abandonner ou de tourner le dos à l’adversité.
Sauf pour nous. »