Je suis très vieux, très fatigué, attristé, et je n’ai pas le courage d’agir. Ces barques, c’est tout ce que j’ai à vous dire, vont être de plus en plus nombreuses. Oubliez les représailles allemandes. Souvenez-vous et souciez-vous du dernier crime, car si vous ne commémorez que l’ancien, surtout avec un tel zèle, vous n’aurez plus ni yeux ni oreilles pour vous inquiéter du nouveau, pour ranimer votre volonté d’empêcher qu’il ne se répète.