En l’espace de deux jours, Zeïna avait perdu sa gaieté, ses rêves et ses espérances. Elle était totalement anéantie, en proie à de nouvelles crises. Elle pleura pendant deux semaines au moins. Après quoi, elle reprit ses affaires et remonta dans sa montagne, là où l’homme, l’animal le plus redoutable de tous, se faisait plus rare.