Elle aimait voir ces vies qui se croisent sans se toucher, ces gens qui se posent, tendus ou avenants, ces riens échangés au-dessus d'une tasse ou ces serments prononcés au détour d'un dessert. Une salle de café, c'est le miroir du monde. Comme une symphonie sans partition et dont elle, Macha, se sentait chef d'orchestre.