AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Mariano Rodriguez Herrera (1)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées
Tania, la guérrillera du Che

Mariano Rodriguez Herrera retrace le parcours atypique de Tania Tamara Bunke, née en 1937 et décédée tragiquement en 1967. L’occasion de passer sous la loupe la vie et l’engagement politique d’une jeune femme idéaliste, qui toute son existence s’est battue pour libérer les peuples de l’enclave capitaliste. L’histoire débute au moment de sa naissance, lorsque ses parents fuient l’Allemagne nazie pour trouver refuge en Argentine. Là, aussi, ils sont très vite confrontés à des persécutions à l’encontre des communistes. Retour en Europe au début des années 50 et rencontre avec Che Guevara, venu en visite en RDA, et qu’elle rejoint ensuite à Cuba. Poussée par une force indicible, elle s’engage dans la lutte armée, modifie plusieurs fois son identité, joue les espionnes et voyage munie de faux passeports. Son histoire ressemble à un film d’aventure en Technicolor. Avec plusieurs compagnons de combat, elle passe en Bolivie pour poursuivre la révolution. Coincée dans une embuscade organisée par les troupes régulières, elle perd la vie en tentant de franchir une rivière. Son corps est retrouvé bien plus tard, à peine reconnaissable. En se basant sur des contacts personnels et de multiples documents d’archive, l’auteur réussit à établir une biographie rigoureuse d’une combattante de l’ombre, dont les activités ont été longtemps à demi voilées. L’opportunité aussi de souligner le rôle des femmes dans les luttes d’indépendance, leur courage et leur ténacité.
Commenter  J’apprécie          10


Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Mariano Rodriguez Herrera (1)Voir plus

Quiz Voir plus

Du bazar mélancolique au souk joyeux, le borborygme assourdissant des bonimenteurs

Bazar et vacarme sont le même mot. Le mot persan bazar s’analyse en wescar. Le mot arménien vacarme se décompose en wahacarana. L’un et l’autre disent la rue marchande (mot à mot « l’endroit où on marche pour acheter », la ville).

Émile Zola
Pascal Quignard

14 questions
8 lecteurs ont répondu
Créer un quiz sur cet auteur

{* *}