Ça y est, l’année est terminée. Plus qu’un mois et c’est l’exode. Tout le monde va se sauver en vitesse. Comme des voleurs. Changer de lieu, de peau et revenir différent. Transformé du dehors et du dedans.
Les morts, eux, ne partent pas. On laisse derrière soi! Seuls, dans leur trou. (P.146)