Je suis vouée simplement à imaginer une écoute post mortem et me satisfaire d’avoir été un peu utile. Mais ce que je dis est — il audible ? Je m’imagine, au « journal » de la belle et énigmatique Claire, racontant le combat d’une femme de la cinquantaine au bord du gouffre, trouvant la force de dénoncer ce système inhumain dans lequel les malades en fin de vie sont plongés !
J’imagine quatre pages dans Marie-Claire, et je prie le ciel que les journalistes m’évitent tout article misérabiliste, pathétique.
J’espère que les journalistes ne feront pas de voyeurisme.