Marie Force

Quelque chose a changé. Il est plus sauvage, plus vorace. C’est parce que je l’ai défié concernant cette interview ? Quelle que soit la raison, je ne vais pas me plaindre. Je l’aime bien comme ça, un peu déchaîné et succombant au désir. Alors que ses dents se referment sur mon téton, j’ai envie de le supplier de se hâter, de me prendre, de me soulager de cette tension douloureuse entre mes cuisses, mais je n’arrive pas à trouver les mots. Il me les a volés, tout comme il m’a coupé le souffle.

Je suis en feu. Mes tétons maintenant dressés et douloureux, il les abandonne pour semer des baisers tout au long de mon corps. Ses mains sont partout, elles me caressent, me frôlent et me titillent sans apaiser mon désir.

Il s’installe entre mes cuisses qu’il écarte de ses larges épaules.

Chaque cellule de mon être est aux aguets en attendant la suite. La première fois qu’il m’a fait ça, j’en ai presque perdu la tête. Même si je sais à quoi m’attendre, je ne suis pas préparée à son premier coup de langue ni à ses doigts qui s’insinuent en moi.