Celles qui parlaient de livres érotiques se bornaient à citer des textes classiques Mandrargues, Bataille, Reage, ou même Sade. Autrement dit, des textes d’une extrême beauté littéraire. Même Emmanuelle, plusieurs fois cité mais malgré sa trivialité ne saurait être comparé aux films pornographiques projetes dans les salles spécialisées