J'ai repris la robe de chambre que tu m'as donnée, à nouveau j'ai regardé cette maison avec gratitude, c'est ici que je t'attends.
La mort n'est rien, je te l'ai déjà dit, elle n'est rien quand les jours nous ont appris l'amour, nu et vrai, resplendissant.
Merci de cela, ma joie, ma douce aimée.