Marie Novion

Un jour, c’est la stupeur, il n’y a plus de chocolat dans les rayons, les clients cèdent à la panique. Impossible de s’endormir, de travailler ou de se détendre sans un petit carré de chocolat. Leur colère éclate devant le silence tétanisé de Germain, qui finit par fermer l’épicerie en plein après-midi.