Jusqu'au bout, Marie-Paul aura espérer regagner des forces, revenir à la santé, reprendre une vie normale, et surtout, surtout, écrire à nouveau. Témoigner, transmettre, partager par l’entremise de ses romans lui était nécessaire, c'était sa "façon d'aller vers les gens" disait celle qui se définissait comme "casanière".