Car c'est à la nudité qu'invitent ces jours de la nui hivernale. Quand le temps est si serré qu'il est crépusculaire, quand les aubes sont de givre et les soirs de glace dès que le soleil a chu, quand les arbres sont graciles, les jardins déserts, les champs labourés , les haies presque effacées, on va droit au centre. Au centre des buissons, au centre de la maison, au centre de soi.