Au cours des mois qui suivirent la mort de Juan, Alexandre connut plusieurs accès dépressifs. Quand le chagrin le submergeait, il se retirait dans ses appartements, refusant de voir quiconque et même de s'occuper des affaires de l'Eglise. Puis il en ressortait, rempli d'une énergie nouvelle, bien décidé à entreprendre sa réforme.