Depuis que j'avais l'âge de raison, je rêvais d'habiter Paris. Probablement à cause de mon père et de ces romans de Paul Féval, de Jules Vernes, d'Alexandre Dumas et de tant d'autres qu'il m'avait fait lire, .avant de se tuer dans l'accident qui m'avait laissé orphelin. Ces livres m'avaient farci la tête d'aventures et persuader qu'en France la vie était plus riche, plus joyeuse, plus belle, et tout et tout, que nulle part ailleurs.