Ne pas finir découle d'un désir d'éternité. Car les textes qui somnolent, drogués, attachés, les œuvres ignorées, jetées, avortées te hantent, tentent de renaître dans tout ce que tu fais, écris. Elles cherchent à se recycler, à revivre. Des enfants difformes et amputés que tu as aimés pourtant, un jour. (...)
Tu écriras un monstre d'œuvre, gros, dégoulinant de mots. C'est ça ou être bouffée par la tête.