Nationalité : États-Unis
Biographie :
Mark Alpert suit ses études secondaires à New York, puis entre à Princeton pour étudier l'Astrophysique.
Passionné de Physique, il l'est aussi de Poésie, et, pendant ses études universitaires, il suit un atelier de "creative writing", avec des professeurs comme Michael Ryan, ou James Richardson.
Il devient journaliste et travaille comme chroniqueur au "Claremont Eagle Times" où il est chargé de rendre compte des réunions de parents d'élèves, et des accidents de la circulation, photos à l'appui qu'il prend avec son propre appareil. Un peu plus tard, il entre au "Montgomery Advertiser" (Alabama) où il couvre la dernière année du mandat de gouverneur de George Wallace. En 1987, il revient sur New York et travaille pour "Fortune Magazine" pendant les quatre années suivantes.
En 1998, il rejoint l'équipe de "Scientific American", la plus importante revue de vulgarisation scientifique des États-Unis.
Sa passion des Sciences Physiques reprend le dessus et c'est après la publication d'un article sur Albert Einstein que lui vient une idée de roman - le thriller, "Final Theory" (Code Einstein), paru en 2008 aux États-Unis.
Après l'immense succès rencontré dans son pays, Mark Alpert est aujourd'hui publié dans près d'une vingtaine de pays.
Il vit à Manhattan avec sa famille.
son site: http://www.markalpert.com/
Twitter: https://twitter.com/alpertmark
+ Voir plusMark Alpert suit ses études secondaires à New York, puis entre à Princeton pour étudier l'Astrophysique.
Passionné de Physique, il l'est aussi de Poésie, et, pendant ses études universitaires, il suit un atelier de "creative writing", avec des professeurs comme Michael Ryan, ou James Richardson.
Il devient journaliste et travaille comme chroniqueur au "Claremont Eagle Times" où il est chargé de rendre compte des réunions de parents d'élèves, et des accidents de la circulation, photos à l'appui qu'il prend avec son propre appareil. Un peu plus tard, il entre au "Montgomery Advertiser" (Alabama) où il couvre la dernière année du mandat de gouverneur de George Wallace. En 1987, il revient sur New York et travaille pour "Fortune Magazine" pendant les quatre années suivantes.
En 1998, il rejoint l'équipe de "Scientific American", la plus importante revue de vulgarisation scientifique des États-Unis.
Sa passion des Sciences Physiques reprend le dessus et c'est après la publication d'un article sur Albert Einstein que lui vient une idée de roman - le thriller, "Final Theory" (Code Einstein), paru en 2008 aux États-Unis.
Après l'immense succès rencontré dans son pays, Mark Alpert est aujourd'hui publié dans près d'une vingtaine de pays.
Il vit à Manhattan avec sa famille.
son site: http://www.markalpert.com/
Twitter: https://twitter.com/alpertmark
Source : http://fichesauteurs.canalblog.com
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Citations et extraits (8)
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Il pensait au futur. Einstein était un indéfectible optimiste. Il pensait vraiment que les Américains et les Russes finiraient par déposer les armes et formeraient un gouvernement mondial. La guerre serait alors proscrite et tout le monde vivrait en paix.
Une fois par semaine, David écoutait Kleinman élucider les mystères des fonctions des ondes et des particules virtuelles. Malheureusement, toutes ses patientes explications n’avaient pas suffi après deux années de frustration, David dut admettre que cela dépassait son entendement. Il n’était pas assez intelligent pour être physicien. Il abandonna donc les études de physique et se tourna vers ce qui s’en rapprochait le plus : un doctorat en histoire des sciences.
Il est absolument inconcevable qu’Einstein ait pu formuler une théorie unifiée. Il ne connaissait que la gravité et l’électromagnétisme. Les physiciens ne comprenaient pas l’interaction faible jusqu’aux années soixante, et ils n’ont calculé l’interaction forte que dix ans plus tard. Aussi, comment Einstein aurait-il pu trouver une Théorie du Tout en ignorant deux des quatre forces fondamentales ? Ce serait comme faire un puzzle sans la moitié des pièces.
Einstein essayait de trouver une théorie classique. Une théorie avec une stricte relation de cause à effet et pas d’étranges incertitudes quantiques. Mais la théorie des cordes dérive de la mécanique quantique. C’est une théorie quantique qui inclut la gravité, et ça n’a rien à voir avec le travail d’Einstein.
Le shtarker était un espion, ou peut-être un terroriste. Son affiliation exacte n’était pas claire – Iran ? Corée du Nord ? Al-Qaida ? – mais peu importait. Ils couraient tous après la même chose.
Ce serait plus comme une grille de mots croisés que comme un puzzle. Pour autant qu’on ait suffisamment d’indices, on peut réussir à trouver le mot, puis remplir les cases blanches après.
Tout est question de flexibilité. Quel que soit le jeu auquel on joue, on doit toujours être prêt à ajuster sa stratégie.
La vie n’est rien que de la merde et ce qui vient après est probablement pire.
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