Le tracteur changea tout, il a libéré des millions d’hectares de terres qui étaient autrefois consacrées à nourrir les bêtes de somme. Le nombre de chevaux diminua, passant de 25 millions en 1920 à environ 3 millions en 1960…
L’impact fut profond. Selon l’économiste de l’USDA Willard Cochrane, comme il écrivit en 1958, “la substitution de l’énergie animale par la puissance du tracteur a libéré environ 70 millions d’acres, soit un cinquième de nos terres agricoles, pour la production de cultures destinées à la commercialisation”.