Il monta le son de sa chaîne et un vieux morceau de rap s'échappa des hauts-parleurs dernier cri. Il en avait toute une collection, de Kurtis Blow à Eazy-E, en passant par the Furious 4+1 ou Public Enemy, des rappeurs classiques maîtrisant l'art de la rime dont le talent ne se limitait pas à énumérer leurs derniers achats. Même s'il n'y avait absolument rien de mal à posséder un Louis Vuitton.