Il peint pieds nus, torse nu. Au milieu des pinceaux, des truelles et des chiffons. Il y a de la peinture partout sur le sol, qu’il piétine, indifférent à tout ce qui n’est pas le tableau. Il en a aussi sur la poitrine, sur le visage, sur les bras. Du rouge, du jaune, du blanc. Une bataille furieuse. Entre lui et la toile. Entre lui et le sujet du tableau : Lorraine, encore une fois.