Marlène Merveilleux

C'est une collègue qui m'a parlé de ce roman. On lui a proposé de l'offrir à une enfant qui n'aime pas la lecture.



Intriguée, je me suis procurée ce roman, qui a bientôt 100 ans ! Il a été publié pour la première fois aux USA en 1924 et il n'arrive que maintenant en France !



J'étais assez dubitative sur l'histoire en elle-même, des enfants de moins de 15 ans qui parviennent à se débrouiller tout seul, cela me dérange toujours un peu.



Je suis restée sur ma faim, les personnages ne sont pas assez creusés, il manque des tenants et des aboutissants. Le premier étant pourquoi ont ils peur du grand-père ?



Tout s'arrange très bien, tout tombe à pique quand il faut.



Alors, c'est mignon, oui, j'aime bien aussi les illustrations qui accompagnent l'histoire, mais j'ai perdu mon âme d'enfant pour accepter les nombreux fils blancs qui cousent cette histoire.



Je suppose malgré tout, que dans ces années là, les enfants mûrissaient peut être plus vite aussi, ils étaient moins couvés et devaient être autonome plus vite. Ce qui pourraient expliquer la grande débrouillardise dont font preuves les enfants.



Cela reste un petit roman sympa, qui je suppose pourra plaire aux jeunes lecteurs.

Les Enfants Boxcar est une série à succès américaine, publiée pour la première fois en 1924. Les romans mettent en scène quatre orphelins ( Henry, Jessie, Violette et Benny), très débrouillards, qui vont vivre de sacrés aventures. Dans ce premier tome, nous faisons connaissance avec eux et nous découvrons leurs belles personnalités. Ils cousent, ils bricolent, ils cuisinent, ils travaillent, ils chinent…ces enfants là ont de la ressource et nous ramènent à une autre époque.



Avouons-le, la littérature jeunesse depuis Les Enfants Boxcar a bien évolué ( et c’est tant mieux !). On retrouve dans cette lecture l’esprit bon enfant et tendre du Club des cinq ou des Petites filles modèles. C’est fut pour moi une lecture “madeleine de Proust”, très attendrissante même si pas crédible du tout et un peu trop optimiste et idéaliste. Mais qu’est-ce que ça fait du bien des petites lectures comme ça de temps en temps. De jolies petites péripéties jalonnent le quotidien des enfants Boxcar : un chien blessé, une course à pied, une cueillette de cerise, l’aménagement d’un wagon…ils sont si imaginatifs et positifs qu’on en oublierait leurs difficiles conditions de vie ! Et évidemment tout est bien qui fini bien.



J’ai été charmée par ce côté rétro et touchée par les relations qu’entretiennent les frères et sœurs. Bienveillants, prévenants, à l’écoute des uns et des autres, ils ont fait de leur situation une force. C’est simple, extrêmement facile à lire, un peu simplet et caricatural ( oui, on ne va pas se mentir) mais aussi très distrayant. Personnellement j’ai bien envie de découvrir les autres tomes.
Lien : https://www.lirado.fr/enfant..

Dans ce premier tome, nous suivons les aventures d'une petite fratrie soudée, quatre orphelins de 7 à 14 ans qui doivent se débrouiller seuls et qui finissent par trouver une maison dans un petit wagon de train abandonné. Peu à peu la vie s'organise...



Considéré aujourd'hui comme un grand classique aux Etats-Unis, j'étais très curieuse de découvrir ce livre après en avoir entendu parlé un peu partout ces derniers mois, et il a été une révélation pour moi. Un roman tout doux, tout simple (sans être simpliste), où l'on suit la vie de tous les jours de quatre enfants. Amour fraternel, bienveillance... c'est une lecture fait beaucoup de bien. Et, surtout, le roman se lit très facilement : mon fils qui n'aime pourtant pas beaucoup lire, l'a dévoré.



On s'éloigne du roman jeunesse habituel, on n'est pas là pour suivre des aventures palpitantes mais plutôt pour se plonger dans un univers sécurisant, bienveillant, où l'on s'attache aux quatre personnages, on s'identifie à eux, et on n'a qu'une envie : partager leurs aventures !



Ce livre a été publié dans les années 40 (il y a également une première version publiée dans les années 20 mais il s'agit d'une œuvre distincte : c'est le roman des années 40 que l'autrice revendique et qui a atteint le statut de classique aux Etats-Unis). C'est grâce à un style simple, avec un vocabulaire limité, que le livre s'est vendu à plus de 70 millions d'exemplaires dans le monde (!), et la traduction en français a réussi à préserver tout le charme de l'original. Si vous avez chez vous des lecteurs réticents, ce roman leur donnera le goût de la lecture !



Bref, je recommande, et vivement le tome 2 !

Je viens de découvrir Les enfants Boxcar, tome 1, offert à ma petite fille de 11 ans.

Je l'ai lu avant de le lui donner.

C'est tout à fait charmant, écriture fluide et simple, pas de mot qui nécessite un dictionnaire à côté.

De belles illustrations émaillent la lecture de temps en temps.

Certes, c'est totalement désuet (1942) mais néanmoins, ça reste plaisant de plonger ainsi dans le passé.

Après le décès de leurs parents, ces 4 enfants prennent la route pour fuir un grand-père qu'ils pensent être méchant.

Avec très peu de chose, ils réussissent à faire des miracles en se fournissant dans une décharge.

Côté nourriture, ils se débrouillent aussi car l'aîné a trouvé un petit travail de jardinage chez un médecin sympathique.

Deux bémols à noter : le titre " le secret des orphelins" ? de quel secret parle t-on ? je l'ignore. Et pourquoi les enfants pensent que leur grand-père est méchant ? on ne le saura jamais, dommage.

La fin est cohérente, et d'autres tomes suivent.

Orphelins livrés à eux-mêmes, ne souhaitant pas être reconnus pour échapper à un grand-père dont ils redoutent de faire la connaissance, quatre frères et sœurs de 6 à 14 ans organisent leur vie en en vrais Robinson Crusoé.



Très attentifs les uns aux autres, notamment au benjamin qu'ils protègent, ils vont bientôt découvrir que le monde n'est pas toujours hostile et qu'il s'y trouve de belles personnes.



Original aujourd'hui, dans son sujet et son style soigné, cette fiction peut donner aux 8-10 ans le plaisir d'un premier roman adapté à leur maturité et leur sensibilité.



Paru en 1942 aux États-Unis, et sans cesse réédité, il est publié en français pour la première fois avec les illustrations de Marlène Merveilleux en noir et blanc, très respectueuses du contexte d'autrefois.


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Voilà un roman jeunesse à découvrir avec 4 orphelins très touchants.

Livrés à eux mêmes et fuyant leur grand père qu’ils pensent méchant, ces derniers sont à la recherche d’un abris pour une nuit. Leur choix s’arrête sur une boulangerie suite à l’accord de la propriétaire. Mais la dame a des projets derrière la tête dont la séparation de ces enfants qui décident de vite s’enfuir. Ils vont trouver un wagon abandonné et leur imagination voit ici une future maison pour eux.

J’ai beaucoup aimé la légèreté de cette histoire malgré un fond assez triste comme la perte d’une famille.

Mais ils restent soudés et c’est beau à voir. Admirative par leur côté dégourdi, ils voyaient dans chaque objet une façon de le détourner et le rendre utile. Cette lecture m’a beaucoup rappelé ma jeunesse, le temps des cabanes que l’on s’amusait à fabriquer. De nombreuses illustrations sont également présentes, donnant vie aux personnages.

Le récit est assez court et permet une accessibilité aux plus jeunes qui n’auront pas le temps de se lasser de l’histoire.

Une très belle découverte que je recommande pour les petits comme pour les grands 😉

« Le secret des orphelins » est le premier tome de la série américaine « Les enfants Boxcar » à destination des 8/10 ans. Si elle a déjà conquis le cœur de 80 millions de lecteurs dans le monde, l’édition française a vu le jour début 2023 aux éditions Novel.



Il aura ainsi fallu attendre plusieurs décennies après sa sortie aux Etats-Unis pour voir la version de « The Boxcar Children » publiée en français… en France. Les éditions Novel ont choisi de valoriser des romans anglo-saxons pour faire découvrir aux jeunes français les « classiques » de la littérature jeunesse américaine. Cette série de Gertrude Chandler Warner est l’une de ses séries phares. Avec plus de 80 millions dans le monde, la série « Les enfants Boxcar » devrait conquérir facilement le coeur des 9/10 ans avec une bonne dose d’aventures et d’entraide.



Comment ne pas s’attacher immédiatement à Jessie, Benny, Henry et Violette quand on les découvre affamés devant la vitrine de la boulangerie ? Si jeunes et déjà une vie d’errance pour cette fratrie sans parents ! Quel triste tableau, me direz-vous ? Et bien, ces enfants – par la magie de la fiction – vont trouver les ressources pour avancer et toujours positiver dans ce monde d’adultes !



Alors qu’il traverse une forêt pour rejoindre le village suivant, ils tombent sur un wagon de train abandonné. Sans hésitation, ils en font une petite maison à leur goût ! L’aventure à quatre peut alors commencer…



Publiée dans les années 1940 ( il y a bientôt un siècle, quoi !?!), cette histoire est bien loin des standards de notre vie actuelle. Les enfants sont livrés à eux-mêmes, très débrouillards, soudés comme les 5 doigts de la main (avec leur chien « Gardien », le compte est bon !) et toujours partants pour faire des « petits boulots » (le plus âgé n’a que 14 ans !). Ils me font penser à des scouts avec leurs astuces pour survivre et se créer des objets !



L’aventure de cette fratrie se fait dans une ambiance rétro et très idéalisée…. un peu comme dans un roman « feel good » actuel où les protagonistes s’en sortent toujours bien malgré les épreuves.



Les illustrations en noir et blanc sont douces et joyeuses. Elles permettent aux jeunes lecteurs de se projeter dans cette époque passée.



Ancienne institutrice, Gertrude Chandler Warner avait à coeur d’écrire des histoires faciles à lire et positives pour les enfants. Elle écrivit 19 tomes, puis accepta que d’autres continuent son œuvre, avec de nouveaux tomes paraissant régulièrement depuis 1942. Avec 150 tomes au compteur aujourd’hui, on peut dire que le pari est réussi !




Lien : https://www.unlivredansmaval..

Toutes les qualités de fraîcheur du tome 1 sont bien présentes dans ce nouveau volet. Les enfants ont un bel esprit d'entraide et une soif de découverte qui fait du bien au lecteur, devenu familier de la fratrie. L'intensité du scenario est peut-être un peu moins forte mais le charme opère.

Facile à lire dès 8-9 ans.

Les illustrations contemporaines de Marlène Merveilleux respectent le contexte d'écriture de cette série de romans pour la jeunesse parus dans les années 50 en Amérique, "marquant l'imaginaire d'un pays tout entier".

Inédit en France.
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Voici le premier tome d’une robinsonnade pour enfants, paru pour la première fois en 1942 aux Etats Unis.

J’ai d’abord été perturbé par le récit au présent alors qu’on est dans une époque assez indéterminée, mais je m’y suis finalement bien habitué.

Ce roman se lit très vite grâce aux enchaînements des actions, à la simplicité de la plume et aux caractères frais des personnages. Bien qu’aucune de ces actions ne soit réaliste.

C’est un roman très jeunesse qui n’est vraiment pas exigeant, à partir de 9 ans.

Ce 2ème tome confirme mon attachement pour cette série, quel plaisir de retrouver nos petits aventuriers !



Cet été, Henry, Jessie, Violette et Bennie passent leurs vacances sur une île déserte que possède leur grand-père. Seul le capitaine Daniel y vit dans une maisonnette et fait la traversée qui relit le continent. Il veillera sur eux avec bienveillance, en l’absence de leur grand-père. Les enfants quant à eux, sont ravis de s’installer dans une grange.



Au programme des vacances : pêche à la palourde, bricolage, baignade en mer, découverte de l’île, cueillette du potager, récolte de petits trésors : algues, fleurs, coquillages, etc. Les vacances se déroulent à merveille et les enfants se construisent de merveilleux souvenirs. La découverte d’un trésor amérindien enfoui dans le sable, marque de façon inoubliable leur bel été.



Les 4 enfants sont très débrouillards, prévenants et bienveillants les uns envers les autres, c’est adorable ! C’est un roman qui a le charme des aventures sans parents, à la manière de la famille Robinson avec un petit côté désuet puisque le roman date des années 1920 : les enfants Boxcar ont à cœur de faire la vaisselle, pas comme les miens ! Les enfants auront plaisir à lire cette série tant ils s’identifieront aisément dans leurs aventures et y découvriront des informations sur la civilisation Mohawk mais chuuuut !
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J’ai été contacté par une nouvelle maison d’édition, Novel, ils ont pour but de traduire des classiques de la littérature jeunesse américaine. Curieuse, j’ai accepté de lire certains titres.



Ce roman nous fait suivre l’aventure de quatre enfants qui fuient leur grand-père suite au décès de leurs parents. Ce premier roman se déroule dans les années 1920-30. Il m’a fallu m’en souvenir quand je trouvais bizarre par exemple qu’un enfant cherche du travail.



L’histoire est assez introductive, elle nous permet de découvrir les quatre enfants et met en place l’univers dans lequel évolueront ces enfants dans les prochains tomes je pense.



J’ai aimé suivre ces enfants qui sont très débrouillards pour leur âge. Les péripéties sont simples mais efficaces. Par contre je trouve que cela se lit que ce roman a été publié en 1929. Benny, le plus jeune (5 ans), parle comme un adulte et j’ai trouvé ça bizarre.



En bref, c’est un roman simple mais distrayant. Je lirai avec plaisir la suite de cette longue saga (162 tomes actuellement aux Etats-Unis).

Avis Lecture



Les enfants Boxcar

Le secret des orphelins

@editionsnovel



Coup de ❤️ pour ce roman jeunesse avec ce 1er tome!

Je suis retombée en enfance avec l'aventure de ces quatre orphelins, les enfants Boxcar.



Henry l'aîné de 14 ans s'occupe de ses frères et sœurs depuis la mort de leurs parents, Jessie 12 ans adore cuisiner, Violette 10 ans, timide, adore le milieu artistique et Benny le petit dernier de 6 ans, drôle et très gourmand.



Ils se retrouvent livrés à eux même, et vont vivre dans un wagon de train abandonné..

J'ai adoré découvrir ces enfants, cela m'a fait un peu pensé aux clubs des cinq que je lisais dans mon enfance..



Un joli roman jeunesse, tout doux, avec des illustrations vraiment très belles 🥰



J'ai tellement apprécié que j'ai enchaîné avec le 2nd tome directement...je vous en parle bientôt !😉



Vous connaissez ?

Voilà un petit roman au charme un brin désuet qui se lit vite. Les enfants Boxcar date des années 40 et cela se sent. Énorme succès aux Etats-Unis, la collection Novel a décidé de le faire découvrir aux petits français.

Je serais curieuse de voir si les jeunes enfants se laisseront séduire par cette histoire de 4 orpheline, soudés et débrouillards, qui trouvent refuge dans un vieux wagon et s’organisent une petite vie.

Pour ma part, j’ai lu ce livre avec plaisir, comme on lit un vieux bouquin d’enfance retrouvé dans une armoire chez ses grands-parents.

Ce livre bilingue remplit sa mission – malgré quelques raccourcis dans la narration – et tient en haleine les jeunes lecteur·trice·s, tout en leur faisant découvrir quelques aspects de la vie de Guillaume le Conquérant. Les courtes lettres écrites par Betty à son père sont rédigées en anglais, ce qui permet aux lecteur·ice·s de se familiariser avec cette langue, sans que cela ne représente un trop grand effort.
Lien : https://www.ricochet-jeunes...

’école est finie et ce sont les vacances scolaires pour Henry, Jessie, Violette et Benny. Leur grand-père Henry James Alden leur révèle qu’il possède une île sur laquelle ils pourraient passer leurs vacances d’été. Les enfants sont excités à l’idée d’habiter seuls sur une île le temps des vacances. Mr. Alden et ses petits-enfants partent à la visite de cette île qui inspire à la curiosité, à l’amusement. Sur le quai, ils font la connaissance du capitaine Daniel qui possède un bateau reliant la terre ferme à l’île et qui vit sur l’île dans une cabane jaune, en compagnie de Joe, un bricoleur. Ils découvrent une grange qui sera leur maison. Ils retournent sur le continent pour récupérer leurs affaires. Il est temps de dire aurevoir à leur grand-père. Les vacances peuvent commencer. Au programme de leurs vacances : cueillette de petits pois, pêche aux palourdes, bricolage, cuisine, couture, création d’un musée composé d’oiseaux, de fleurs, d’algues, de coquillages de papillons, de nids abandonnés. Leurs vacances se déroulent à merveille. Ils partent en exploration sur l’île et découvrent une grotte dans laquelle ils mènent des fouilles avec Joe. Ils retrouvent une pointe de flèche, une tête de hache, un bol et la monnaie wampum ayant appartenu à une civilisation ancienne, la tribu des Mohawks. Quel trésor cache cette île ? Qui est réellement ce Joe ? Et quel est son passé ?



En route pour une nouvelle aventure avec les enfants Boxcar. Quel plaisir de retrouver les enfants Boxcar dans ce nouveau tome. Nous retrouvons une ambiance joviale et chaleureuse, une cohésion entre frères et sœurs similaire à celle du tome précédent. Il est tout à fait possible de lire ce second tome indépendamment du premier. Ici, le rythme du roman est lent et les actions sont parfois longues à se mettre en place, cela est un choix réfléchi car le roman s’adresse à de jeunes lecteurs. Cela n’empêche pas l’envie de poursuivre la lecture. Au cours de ce roman, il se passe parfois quelques imprévus comme lorsqu’ils découvrent des fuites au toit de leur grange et qu’ils doivent se débrouiller seuls. Ils acquièrent de l’autonomie. J’attendrai avec plaisir les tomes suivants.

Gros coup de coeur chez nous !

Les Enfants Boxcar, paru en 1942, c'est le premier tome d'une série best-seller aux Etats-Unis, qui compte aujourd'hui plus de 160 livres et est vendue à plus de 75 millions d'exemplaires dans le monde... et pourtant il n'a été traduit que cette année en France !



Ecrit par une enseignante, effarée par le niveau de lecture de ses élèves (déjà !), il a un style simple et un vocabulaire accessible pour donner le goût de la lecture aux enfants.



L'histoire aurait pu ne pas bien vieillir : des enfants de moins de 15 ans qui se débrouillent tout seuls...! Impossible et impensable aujourd'hui. Mais les ressources de ces enfants, et leur imagination nous replongent très facilement dans l'atmosphère des premières Bibliothèques roses, par exemple.



C'est un magnifique exemple de fratrie, que je donne à mes enfants en rêvant qu'il en soit de même entre eux : les plus grands sont attentifs aux plus jeunes, qui en retour ont totalement confiance en eux. Ils s'aiment et sont profondément bienveillants !



L'édition française est ponctuée de charmants dessins dans le style des années 40, ce qui ne gâte rien.



En résumé : simple, délicieusement rétro, et distrayant !

Dès 7 ans bon lecteur d'après moi.



(Attention aux effets secondaires... mon aîné veut partir vivre dans un wagon avec son canif et ses frères et soeurs...!)

Encore une chouette aventure pour les enfants Boxcar ! C’est l’été et leur grand-père, retrouvé dans l’épisode précédent, leur a préparé une surprise. Ils vont pouvoir passer leurs vacances seuls (ou presque) sur une île, comme au temps où les orphelins devaient se débrouiller tout seuls.

Ce nouveau tome ressemble au premier : c’est plein de bons sentiments un peu datés, mais c’est très agréable à lire, notamment grâce aux jolis dessins de Marlène Merveilleux.

Orphelins ne souhaitant pas aller vivre chez leur grand-père qu'ils pensent cruel, quatre frères et sœurs prennent soin les uns des autres, vivants au jour le jour. Dans ce premier tome, les jeunes enfants découvrent un wagon de train abandonné et décident de s'y installer. Tandis que l'ainé part chaque jour en ville en quête de travail, les trois autres aménagent peu à peu leur nouvelle maison.



"Les enfants de Boxcar" est un roman jeunesse qui se lit très facilement et qui pourra sans doute mettre le pied à l'étrier aux enfants qui souhaitent se lancer dans un premier roman. Il n'y a pas vraiment d'action : les enfants cherchent à manger, améliorer leur intérieur, se baignent, cueillent des fruits... En fait, c'est une histoire qui m'a beaucoup fait penser à celles qu'on s'inventaient, ma petite sœur, ma cousine et moi lorsque nous étions enfants et qui nous occupaient des après-midi entiers.



Lorsqu'on la lit, cette histoire fait un peu datée, dans le sens où on ressent bien qu'elle a été écrite dans les années 20. Cela reste cependant un très joli moment de lecture sur l'enfance, l'entraide et l'amour familial.

Je n'ai malheureusement pas été touchée par ce livre que j'ai trouvé suranné et assez simpliste, pour ne pas dire simplet. L'enfant de 6 ans se comporte comme s'il en avait 3 ou 4, les faits sont assez invraisemblables et cousus d'un énorme fil blanc. Je n'ai été ni attendrie ni emportée par ce récit et ne me suis pas attachée aux personnages qui m'ont semblé caricaturaux.

Je reviens pour vous parler d'un super roman jeunesse culte en Amérique.



Nous y suivons 4 orphelins et leur quotidien dans une Amérique du siècle passé.



J'ai trouvé l'histoire sympathique mais je suis sûr que j'aurais adoré ce récit, si je l'avais lu enfant.



Les personnages sont attachants et je lirai la suite avec grand plaisir.



Je le recommande.