Le charme de Joanna ne se limitait pas au regard lucide qu’elle portait sur son propre talent : elle faisait preuve d’un manque absolu de jalousie professionnelle. Elle était du genre à écrire des prières d’insérer pour encourager des jeunes romanciers inconnus. Elle lisait des manuscrits en loques, elle répondait aux lettres, et mille autres choses.