(...) depuis toujours en Amérique, la sitcom sert de porte-voix aux revendications féministes ('I love Lucy', la toute première sitcom, met en scène une femme au foyer qui veut cesser de dépendre financièrement de son mari), à la satire sociale, à la critique des institutions, à la lutte antisexiste et antiraciste, aux conflits entre adultes et mineurs, majorités et minorités, etc. Et les questions qui y sont abordées ne sont pas du tout spécifiques de l'Amérique. (p. 90)