La sociologue propose de résister à cette « tyrannie » du genre : si l’objectif poursuivi est de laisser chacun libre de vivre sa vie comme il le veut, alors il faut accepter qu’il existe mille et une manières d’être homme ou femme. En sociologie de l’éducation, elle conclut : « au moins l’école pourrait-elle éduquer les jeunes à une moindre soumission aux stéréotypes de genre et s’attacher à ouvrir tous les possibles aux garçons comme aux filles. »